Une Longue Amitié Qui Tourne Au Trio (Suite De: « Ma Copine Me Fait Me Poser Des Questions Sur Ma Meilleure Amie »)

Le lendemain matin, nous partons alors que Fanny est toujours dans sa chambre, Julie me dépose. Dans la voiture elle me prévient qu’elle risque de rentrer plus tard aujourd’hui mais surtout, demain elle va commencer très tôt pour finir de préparer sa présentation de l’après midi. Je lui demande:
« Tu as un rendez vous coquin que tu essayes de me cacher? »
Elle pose sa main sur ma cuisse et me dit:
« Oui, avec toi ce soir! Enfin j’espère! »
J’att sa main que j’embrasse et je lui dit:
« Dès que Fanny part, on reprend tout nos petits jeux »

Elle me sourit et me demande justement si je sais ou ça en est avec Damien, je lui réponds que non mais que, contrairement à elle, je rentrerai tôt à la maison et j’en profiterai pour discuter avec Fanny. Quelques minutes plus tard elle me dépose, nous nous embrassons et elle repart aussi tôt.

J’arrive à la maison vers 16h mais Julie ne rentre jamais avant 18h, ce qui nous laisse du temps pour une sérieuse discussion sur son avenir. Quand j’ouvre la porte une excellente odeur de nourriture envahi mes narines, je ne sais pas ce que Fanny nous mijote mais ça me donne déjà faim.

Je pose ma mallette, je retire mes chaussures et ma veste et je file la rejoindre dans la cuisine. A mon bonjour Fanny me répond:
« Je nous prépare un boeuf bourguignon »
Elle est assise devant la table recouverte de légumes, un couteau à la main. Je l’embrasse sur le front puis je vais cherche un autre couteau et je m’assoies à côté d’elle pour l’aider à éplucher tout ça.

Avant que nous parlions d’un sujet pas important pendant des heures, je lui lance:
« Tu en es où avec Damien? »
Après un petit blanc elle me répond:
« Je ne sais pas »,
et fond en larmes. Je la prends dans mes bras et une fois calmée nous reprenons l’épluchage et la discussion. Au bout de plus d’une heure de parlotte, d’énervements, de pleures… nous convenons de prendre un rendez vous avec un avocat que je connais et je lui promet de l’accompagner au rendez vous.

Le diner est en train de cuire, Julie peut rentrer à tout moment. Pour ne pas perdre de temps je file à la salle de bain me laver et enfin me changer. Pendant que je suis sous la douche Fanny rentre comme une furie en criant:
« Désolée je n’arrive plus à me retenir »,
je la vois soulever sa jupe devant les toilettes, je me tourne complètement pour lui laisser un minimum d’intimité et ne pas m’exhiber trop non plus. Je crois qu’il y a quelques jours cette scène m’aurait paru anodine mais là je ne peux m’empêcher de me poser plein de questions.

Fanny me laisse seul après s’être lavée les mains, je finis ma douche et une fois sec, j’enfile un short et un t-shirt. Quand je rentre du boulot j’aime porter ces shorts sans rien en dessous parce qu’ils sont larges et souvent la main de Julie qui me caresse la cuisse remonte et vient fouiller à l’intérieur. Une fois propre je vais rejoindre Fanny qui s’est aussi changée et porte maintenant un jean et un t-shirt moulant qui met sa poitrine en valeur comme je ne l’ai jamais remarqué.

Je lui propose un apéro pour faire venir Julie, mais aussi pour me faire penser à autre chose que ses seins ou son cul, je nous serres 2 verres de pastis que j’amène avec un bol de chips. Nous sommes toujours aussi complice, j’adore passer du temps avec elle parce que nous parlons certes du long passé en commun que nous avons mais aussi du présent et de l’avenir.

Julie arrive quand je nous sers le deuxième verre, je lui propose de boire avec nous et elle décide de nous suivre au pastis. Nous buvons notre verre en continuant à rigoler tous les trois, Julie et Fanny s’apprécient beaucoup elles ont même des fois des regards complices. Une fois l’apéro finit, ma copine file dans la salle de bain se laver et se mettre à l’aise et pendant ce temps nous préparons la table.

Le repas se passe dans la même ambiance, la bouteille de rouge facilite aussi mais quand je propose d’ouvrir sa petite soeur, Julie nous dit:
« Ca sera sans moi, je vais me coucher, demain je dois être au bureau à 6h! Mais profitez sans moi, ne vous gênez pas! »,
elle se tourne vers moi et rajoute en posant sa main sur mon torse:
« En plus tu peux r, demain tu n’as pas besoin de mettre de réveil. »
Le vendredi je reste à la maison travailler sur mon ordi. Elle m’embrasse langoureusement et longuement, alors que Fanny, peut être gênée, commence à débarrasser.

Quand nos lèvres se décollent, elle file à la salle de bain et je me lève aider mon amie après avoir déboucher la deuxième bouteille pour qu’elle s’aère un minimum. Pendant que nous faisons la vaisselle, Julie vient nous dire bonne nuit. Elle fait la bise à Fanny puis m’embrasse encore plus sauvagement que tout à l’heure et en plus elle me caresse la bite à l’intérieur du short. Elle se penche vers moi et me chuchote à l’oreille:
« Quand tu viens te coucher réveille moi! »
Je commence à sérieusement bander et je suis un peu gêné quand on se décolle de peur que Fanny remarque mon érection que je cache temps bien que mal.

Nous nous retrouvons seul, la vaisselle finit nous allons dans le salon avec les verres et la bouteille, je met un petit fond sonore et nous reprenons les discussions. Immanquablement on reparle de son con de mari. Le disque est finit depuis un moment et je profite d’un blanc dans la discussion et les pleures de mon amie pour remarquer que Julie ronfle et qu’on l’entend jusque ici. Quand Fanny l’entend aussi nous explosons de rire.

Je me lève pour mettre un autre disque et Fanny me dit:
« C’est marrant parce que je sens que tu es heureux mais j’ai quand même l’impression qu’il y a quelque chose qui ne va pas. »
Quand je la rejoins je lui dit qu’hier elle m’a dit pour la première fois qu’elle m’aime mais que je ne suis pas dans la situation qu’elle, je rajoute même:
« J’adore notre complicité, elle est belle, elle a un bon boulot… mais depuis le début je sais que notre relation a une date d’expiration alors je profite de chaque moment. »

Après un moment de silence je lui précise:
« En plus sexuellement, comme je te l’ai déjà dit, c’est plus que génial. »
Elle me sourit, pose sa main sur mon dos qu’elle commence à caresser et me dit d’un air mi triste mi jaloux:
« Je sais, ma chambre n’est pas loin de la votre, je vous entends! »
Je suis un peu gêné mais je lui souris quand même puis elle ajoute:
« Hier quand j’ai vu ton dos, j’ai mouillé ma culotte en pensant à ce que vous veniez de faire sur ce canapé! »

Je suis encore plus gêné surtout que maintenant ses mains sont sur mon visage, elle ajoute:
« Damien et ses mensonges ne me manque pas du tout mais sa bite oui!  Remarques depuis que j’ai vu la tienne hier c’est plutôt d’elle que j’ai envie. »
Elle se colle plus à moi et pose ses lèvres sur les miennes. Je suis sur le cul mais je me laisse faire, ses fesses m’ont tenté l’autre jour et depuis tout à l’heure sa poitrine m’obsède, je crois que même Julie l’a remarqué. Fanny rajoute en gardant sa bouche contre la mienne:
« J’ai beau me masturber ce n’est pas pareil, prends moi j’en ai trop envie! »
Je ne l’imaginer pas comme ça et j’en bande encore plus.

Une de ses mains quitte mon visage et descend directement dans mon short pour faire grossir ma bite entre ses doigts alors que sa langue part à la recherche de la mienne pour l’inviter à danser. Je ne me laisse plus faire et j’agis. Sans décoller nos bouches, je passe mes mains sous son t-shirt et caresse directement ses deux gros seins à pleine main. Après un bon pelotage réciproque, nos lèvres se décollent et nous nous déshabillons très rapidement, c’est la première fois que nous nous retrouvons entièrement nu l’un en face de l’autre en 25 ans.

Elle s’assoit dans le canapé et écarte les cuisses pour me laisser admirer son sexe qui est surmonté d’un ancien ticket de métro noir, qui n’a pas été taillé depuis longtemps. Ses grandes lèvres pendent beaucoup et des gouttes de cyprine perlent déjà au bout. Elle passe 2 doigts de sa main droite entre ses lèvres intimes et me dit en les tendant vers moi:
« Je t’avais pas menti, j’ai très envie! »
Je ne résiste plus, même si Julie dort dans la pièce d’à côté, je me penche pour lécher ses doigts brillants puis je m’agenouille entre ses jambes.

Je passe ma langue sur et entre ses grandes lèvres, elle coule de plus en plus et j’adore ça. Je la glisse maintenant entre pour titiller ses petites lèvres et son trou que je sens déjà grand ouvert et qui accueille le bout de ma langue. Puis je ressors pour m’occuper de son clito d’abord avec mes lèvres. Je lève les yeux pour voir si elle prend du plaisir mais je ne vois que sa poitrine alors je pose une main sur chaque sein.

Dès que je les caresse, j’entends des gémissements étouffés. J’augmente l’activité de ma langue et mes lèvres mais aussi de mes mains et surtout mes doigts. Au bout de quelques minutes je sens Fanny se crisper et me taper sur la tête. J’abandonne son petit bouton et je lève la tête quand je vois Julie à côté de nous, chemise de nuit relevée et deux doigts dans la chatte. Elle s’agenouille de l’autre côté de la jambe gauche de Fanny et je replonge ma tête entre ses cuisses.

Rapidement je sens une main sur la mienne qui est sur le sein gauche de Fanny, je la retire pour laisser Julie s’occuper de se sein et je me concentre sur l’autre. Au bout de quelques minutes je décolle ma bouche pour voir ce qu’il se passe, les filles s’embrassent à pleine bouche, Julie est maintenant nue elle aussi. En voyant ça je plonge deux doigts dans le con de mon amie d’enfance qui rentre sans aucune difficulté.

Quand leurs lèvres se décollent, Julie se lève et vient s’assoir sur le canapé à côté de Fanny pour se mettre dans la même position. Elle m’att par les cheveux et me dit:
« Maintenant que tu la doigtes viens me bouffer la moule mon cochon. »
Fanny lève sa jambe droite et Julie la gauche et alors que je fais aller et venir mon index et mon majeur dans la chatte de ma meilleure amie, je pose ma langue à la base du sexe de ma nana pendant que je sens leurs jambes redescendre sur mon bras.

Je remonte ma langue jusqu’à son clito que j’aspire immédiatement entre mes lèvres et titille avec le dos de la langue. Avec ma main droite je caresse les grandes lèvres de Julie qui s’ouvrent de plus en plus alors que la gauche vient d’introduire un troisième doigt dans Fanny. Je lève un instant la tête et je vois les langues des deux filles s’entrechoquer en dehors de leurs bouches et se pincer les tétons. Elles gémissent en choeur.

Pendant que j’installe deux doigts dans la moule de Julie et que je retourne du coté de Fanny pour lécher tout le jus qu’elle produit, ma main est trempée, je vois que maintenant ma nana mordille le teton de mon amie d’enfance qui a l’air d’adorer ça. Après être une nouvelle fois passé sous leurs jambes, je me jette sur les lèvres intimes de Fanny récolter son nectar et alors que je la baise avec 3 doigts je lui bouffe, aspire et mord le petit bouton.

Je baisse avec 2 doigts ma nana qui mordille les tétons de mon amie d’enfance à qui je fais rentrer et sortir 3 doigts à un rythme fou tout en lèchant son clito, quand je sens le sexe de Fanny se contracter autour de mes doigts, elle coule de plus belle, j’en ai jusqu’au coude. Elle ne gémit plus mais crie son plaisir. Son corps se cambre un long moment et quand il redescend je calme ma bouche et mes doigts alors que j’entends des gouttes de cyprine couler sur le carrelage.

Je retire délicatement mes doigts, Julie m’att par le bras humide pour m’attirer à elle. Elle le lèche puis m’assois entre elles. Julie plaque ma main recouverte du jus de Fanny et me branle avec mes doigts en serrant les siens autour. Quand mon amie d’enfance reprend ses esprits, elle se penche vers mon entrejambe et me lèche le gland.

En voyant ça Julie retire nos deux mains et se penche elle aussi pour me lécher la tige du bout de la langue. Fanny gobe mon gland et presse ses lèvres autour de mon frein, elle aspire ma bite tellement fort que j’ai l’impression qu’elle l’arracher. Mais quand elle relâche son étreinte j’ai l’impression d’être encore plus dur.

J’adore sentir 2 bouches sur ma queue, mais là j’ai l’impression que ma nana et ma meilleure amie se lancent un duel: à qui me sucera le mieux?
Je profite de leur combat et je suis encore plus excité quand Fanny recrache mon gland et descend avec sa langue sur mon mat pour rejoindre celle de Julie. Elles se roulent des pelles avec mon sexe entre leurs bouches et leurs langues. Comme si je n’avais pas déjà assez de plaisir, ma nana me malaxe les couilles.

Après plusieurs minutes de ce délicieux supplice, Julie retire sa main et sa bouche, Fanny me gobe entièrement elle fait tournoyer sa langue tout autour de ma tige. En remontant avec ses lèvres plaquées contre mon vit elle titille du bout de la langue mon frein puis mon gland. Je crois que quelques minutes de plus et j’explosais dans sa bouche.

Mais Julie, qui est debout, a prévu un autre programme. Elle m’enjambe en me donnant le dos et empoigne mon sexe pour se le fourrer dans sa chatte bien ouverte et humide. Fanny lui caresse difficilement le sein vu la brutalité des mouvements de Julie sur moi. Ma copine n’arrive même pas à atteindre la chatte de mon amie d’enfance.

Donc Rapidement Julie se lève, elle fait assoir Fanny sur l’accoudoir les cuisses écartées et se met à 4 pattes devant elle. Alors qu’elle se met à lécher le sexe de Fanny qui se caresse les seins, je passe mon gland sur la chatte ouverte et je m’enfonce d’un coup sec en elle. Je l’att par la taille et je me mets à la ramoner. Je lui donne de sérieux coups de reins depuis une dizaine de minutes quand elle s’immobilise et arrête de lécher ma meilleure amie et me dit:
« A Fanny maintenant de profiter de ta queue»

Je sors doucement de sa grotte, celle que je considère comme ma soeur vient se mettre à 4 pattes devant moi, les jambes bien ouvertes elle m’exposent ses grandes lèvres ruisselantes qui n’attendent que ma queue. Je pose mon gland entre elles et je rentre doucement. Une fois que je suis au fond de sa grotte qui est beaucoup plus large que celle de ma copine, Fanny penche la tête sur la moule de Julie qu’elle commence à lécher.

Julie, qui est moins sensible des seins que de ses parties génitales, place la bouche de Fanny sur son clito et glisse sa main pour se doigter. Je baise Fanny aussi violemment que ma nana tout à l’heure et en à peine 5 minutes je sens son sexe compresser le mien. Elle abandonne la chatte de ma nana pour hurler son plaisir. Julie à 3 doigts en elle et se pince le clito, elle accélère la cadence pour jouir en même temps que Fanny alors que je continue de la ramoner mais de moins en moins vigoureusement.

Quand les filles redescendent de leur plaisir solitaire ou commun je me retire de la grotte qui a trempé tous mes poils pubiens. Elles s’agenouillent devant moins et me sucent de nouveau à 2, elles en profitent pour laper le nectar de Fanny. Même si je voudrai faire durer ce plaisir toujours j’arrive de moins en moins à me retenir. J’ai ses deux magnifiques poitrine devant moi alors je retire ma bite de leurs bouches et je me branle sur leurs seins jusqu’à les arroser tous les 4 d’une quantité de sperme que je ne crois jamais avoir sortie.

Une fois que leurs poitrines sont lignées de blanc crémeux, elles se lèchent l’une l’autre et partage mon sperme dans une pelle d’anthologie devant laquelle je ne peux m’empêcher de me branler même si ma bite est à demi molle.
Une fois que nous sommes tous redescendus, les filles filent ensemble à la salle de bain et je débarrasse en restant à poil. Nous allons tous nous coucher sans dire un mot. Dans la chambre Julie s’est immédiatement endormie et le lendemain quand je me suis levé elle n’était plus là.

Par contre Fanny s’est levée pas longtemps après moi, cette fois elle n’est pas en string mais complètement nue. Elle ouvre le frigo et le referme tout de suite, elle se tourne vers moi et me dit:
« Il n’y a plus de lait pour mon café »
Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’elle boit son café noir, elle est devant moi. En s’agenouillant elle baisse mon short et me fait grandir entre ses doigts. Ensuite elle me malaxe les couilles et me suce avec passion jusqu’à ce que je me vide dans sa bouche; elle avale tout mon lait sans même le mélanger avec son café.

Les jours suivants n’ont été que débauche sexuelle à 3 mais aussi dans tous les combinaisons possibles à 2. 10 jours plus tard Fanny a mis son mari dehors pour réintégrer, seule avec ses s, son appartement. La veille de son départ nous avons baisé toute la nuit, ça a été la dernière fois que nous avons baisé tous les 3 et même juste Fanny et moi, enfin jusqu’à présent… surtout que je suis de nouveau célibataire et elle de nouveau malheureuse à cause de son mari qu’elle a fini par faire revenir…